Moyennant 1,5 million d’euros d’investissement, la société VDLV vient de franchir une nouvelle étape, sans doute décisive, dans la quête de transparence, de traçabilité et de sécurité des produits utilisés dans la cigarette électronique.
Fondée en avril 2012, dans un bureau de 33 m² au sein de l’Institut Européen de Chimie et Biologie à Pessac par un ingénieur, Vincent Cuisset, à l’issue de dix-huit…(suite)